18 juin 2009
plus maintenant
Les aider, se battre pour eux. Compenser le superficiel avec l'humain, l'enjeu, parce que c'est de vies dont il s'agit.
Mes projets s'entassent et sont noyés sous le quotidien. Et puis ce qu'il y a autour, l'athmosphère, les gens et les manières...
Même aller là-bas, ça m'a pas relancé.
Je peux plus.
C'est dur à dire, mais je ne peux plus, je ne veux plus.
Je suis passée du côté de ceux qui ont la boule au ventre en allant travailler.
J'aime toujours profondément mon travail, mais pas ici. C'est terminé.
Presque.
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A